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4 avril 2013

Papa-Longues-Jambes

Papa-Longues-Jambes

papa_longues_jambes

 


Auteur : Jean Webster
Editeur : Gallimard-Jeunesse
Collection : Folio Junior
ISBN : 978-2-07-061266-6
Nb. de pages : 212 pages

 

 

 

 

 

Résumé :

Un bienfaiteur, qui désire rester anonyme, offre de t'envoyer à l'université. En échange, tu lui écriras chaque mois une lettre donnant des détails sur tes études et ta vie là-bas, une lettre comme tu en écrirais à tes parents, s'ils vivaient encore. Pour Judy Abbott, jeune orpheline élevée entre les murs d'un respectable et ennuyeux foyer, la proposition est aussi surprenante qu'inespérée. Elle accepte de bonne grâce de se plier aux exigences de son mystérieux tuteur auquel elle a donné le surnom affectueux de Papa-Longues-Jambes.

Mon avis :

Jerusha Abbott est orpheline et son univers se limite à l’orphelinat et à l’école de la ville. Alors, quand un bienfaiteur de l’orphelinat lui propose de l'envoyer à l'université pour 4 ans, elle saute de joie. En échange, elle devra lui adresser chaque mois une lettre sans espérer recevoir de réponse. Ne connaissant que la silhouette de son bienfaiteur, elle décide de l’appeler Papa-longues-jambes. Elle va se confier à lui et lui faire part de sa vie quotidienne. Elle va se lier d’amitié avec deux jeunes filles de la bonne société Sally McBride et Julia Pendleton. Jerusha/Judy se lie également d’amitié avec Jervis Pendleton, l’oncle de Julia.
 
Il s’agit, exception faite du premier chapitre, d’un roman épistolaire d’un genre un peu particulier : la correspondance entre Judy et son mystérieux donateur est à sens unique. On découvre donc l’histoire uniquement par les yeux de l’héroïne.
J’ai adoré ce roman. Judy est un personnage attachant et très humain dans lequel on peut s’identifier facilement. C’est également un personnage qui évolue : jeune fille dépendante au départ, elle va réussir à devenir une jeune femme indépendante qui arrivera à se soustraire à l’autorité de son bienfaiteur. On découvre également la vie dans un lycée de jeune fille. J’aurais aimé que cet aspect-là soit un peu plus développé et moins artificiel : on a l’impression que l’héroïne fréquente un pensionnat de jeune-fille où tout le monde s’entend parfaitement et où il n’y a jamais de soucis. De plus, quand Judy et ses amis se rendent à New-York, l’héroïne ne nous parle que de vêtements et de chapeaux. Malgré cela, on ne s’ennuie jamais en lisant : Judy possède beaucoup d’humour et ses lettres ne sont jamais ennuyeuses.
 La fin est assez prévisible mais cela n’enlève rien à son charme et je suis assez frustrée que la suite de ce roman n’existe qu’en anglais.

PetitbacChallenge

 

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